Non aux Carrières du Bager forêts Oloron Sainte Marie
La forêt du Bager pleure !
La forêt du BAGER pleure !
C'est dans cette forêt que l'étude pour la réalisation d’une carrière doit se faire. Si cela arrive, un total d'environ 1 900 000 m2. de forêt seront perdus à tout jamais !!!
AIDEZ À LA PRÉSERVER !
L'HISTOIRE DE NOTRE FORET !
Cliquez sur l'icone pdf afin de télécharger un fichier pdf avec 40 pages de l'histoire liés à notre forêt du Bager !
Toute cette histoire est maintenu en vie grâce à Pierre Buffault (1866-1942?) (ancien Conservateur des Eaux-et-Forêts) et son "Extrait de REVUE DES PYRÉNÉES - PUBLIEE SOUS LES AUSPICES DU CONSEIL DE L'UNIVERSITE DE TOULOUSE - TOME XIX — 1907"
Dans le fichier pdf, vous trouverez une extraction de chapitre "La ville d’Oloron et sa forêt du Bager - Depuis le onzième siècle jusqu’ a nos jours".
Quelques extraits:
Page 184 & 185:
"Le document le plus ancien que l'on ait sur les bois d'Oloron est le for de 1080, dit de Centulle ou d'Oloron. Les Northmans ayant détruit cette ville, le Comte de Béarn, Centulle IV, qui la considérait comme une importante station du passage de France en Espagne, décida en 1080 de la rebâtir et, pour y ramener des habitants, lui octroya des franchises et privilèges."
PS: J'ai le sang des Vikings dans mes veines, mais je suis sur votre côté. Je veux me battrai pour votre forêt comme j'été né ici!
Autre extractions, ceci lien avec "Le règlement du 28 avril 1677 pour le Bager"
Page 191:
"Dans ces défends, interdiction de couper, déraciner ou mutiler aucun chêne, hêtre ou fruitier, à peine de 16 francs d'amende; toutefois, on pourra couper les scions de noisetier pour son service propre, mais sans pouvoir les vendre, à peine de même amende; pour la coupe des branches de chêne, hêtre ou merisier, l'amende sera de 4 francs par branche (art. 4). On pourra, dans le défends, enlever le bois mort gisant et les rémanents ayant au moins six mois de coupe."
Page 192:
"Si le permissionnaire donne ou vend ce bois à un étranger, il paiera 40 francs d'amende selon la coutume ancienne, et 16 francs si c'est à un habitant des quatre communautés. Sans le permis susdit, défense de couper des chênes, même hors du défends, sous peine de 16 francs d'amende par pied ou de 4 francs par branche.
Désormais, on ne donnera plus de chênes aux habitants que moyennant une indemnité de 2 francs par arbre, qui sera employée «à faire de nouvelles plantations dans les bois pour en empescher la ruine» ; les arbres délivrés seront marqués par un jurât."
Page 193:
"Pour éviter des coupes abusives de bois de chauffage, nul ne devra en abattre plus qu'il n'en peut emporter dans un voyage, sinon le premier arrivant ensuite pourra prendre le bois qu'il trouvera ainsi coupé. La coupe ne pourra se faire que de jour."
Page 194:
"Défense de couper ni secouer aucun chêne ou hêtre, ni branches d'iceux, pour avoir les fruits, sous les peines susdites."
A cette époque, vous deviez payer si vous volé à peu de fruits !!!
Aujourd'hui, nous risquons de perdre 200 hectares de forêt pour un prix symbolique !!!!
Voici une copie d'un autre livre:
